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Dominic Seaton
Messages :
4
Date d'inscription :
19/08/2023
feat Rafael Miller
by Pinterest
Dominic Seaton
♕ Âge : 27 ans.
♕ Parents : Squire Georges Seaton & Demelza Seaton, née Applewhite.
♕ Lieu de naissance : Londres.
♕ État civil : Célibataire.
♕ Titre / Métier : Gentleman / ancien officier pour la Royal Navy / directeur de l’entreprise équestre familiale.
♔ Classe sociale : Il appartient à la noblesse de Campagne (Gentry).
♔ Résidence à Londres : Sa famille possède le Letchford Hall, un domaine qui fait office de ranch en général et d’écurie en particulier, un peu en marge de Londres mais pas trop, et une résidence à Notting Hill. Dominic est continuellement entre les deux.
♔ Résidence à la campagne : Un confortable châlet, baptisé le Midnight Tower. Il est dans la famille Seaton depuis des générations et il trône avec fierté sur sa colline cornouaillaise, dominant les vagues avec assurance.
♔ Richesse : En soi, Dominic et sa famille ne manquent de rien. L'ennui cependant c'est qu'ils sont entièrement dépendants de leur activité et surtout de la renommée. La leur a été bâtie au prix d'un travail monstre, sur plus d'une génération. Aujourd'hui tel un château de cartes, tout menace de s'écrouler.

Qui suis-je derrière mon écran ?


Prénom ou pseudo : Pluton.
Âge : Celui que vous serez gentils de ne pas me donner  bim
Rythme de RP : Régulier ?
Comment avez-vous découvert le forum ? J'ai des amis hauts placés  zut1
Acceptez-vous le règlement du forum ? Oui, je l'jure   chaise
DC : Maxence de Rochford.

Son histoire :



Prologue & présentation

Les semelles de ses bottes enfoncées dans la terre du talus central, Dominic Seaton attendait. Le brouillard, assez dense, allait l'empêcher de voir arriver ses chevaux de loin, mais il les entendrait. Rien qu'au rythme de la foulée, il saurait. Des jumelles pendaient à son cou, inutiles par ce temps. D'ailleurs il ne s'en servait jamais, même s'il les trimballait à peu près partout, que ce soit sur les pistes le matin ou aux courses l'après-midi. Elles avaient appartenu à Émeric et aujourd'hui elles servaient de talisman à son frère. 

D'abord il y eut une sorte de vibration dans l'air, puis un bruit sourd, cadencé, qui s'amplifia jusqu'à devenir un martèlement. Dominic se redressa, aux aguets, cherchant à percer du regard cette brume épaisse qui noyait le paysage. Enfin, il distingua la masse compacte des quatre pur-sang de front, lancés à pleine vitesse. Scarlett avait une encolure d'avance et elle allait facilement. Sachant qu'au bout de huit cents mètres elle commencerait à se détacher, Dominic l'avait placé à l'extérieur afin qu'elle ne lui masque pas les trois autres. En une fraction de seconde, il releva tous les détails du spectacle. Le petit alezan tenait sur les nerfs, veines saillantes et naseaux dilatés, il avait un vrai mental de gagnant. Le gris, qui prenait des départs fulgurants, n'était là que pour servir de lièvre et commençait à fatiguer. Crabtree luttait vaillamment contre Scarlett mais ce serait peine perdue, l'autre allongeait encore sa foulée, aérienne, magnifique. Dans un grondement de tonnerre, les chevaux défilèrent devant lui, projetant de la terre jusqu'en haut du talus. L'instant d'après, happés par la brume, ils s'effacèrent et disparurent. Le Seaton baissa la tête vers ses bottes maculées qu'il observa longuement, perdu dans une petite réflexion. La même depuis dix jours. « Elle a l'étoffe d'une championne. Bon sang, Émeric avait raison ! Si seulement … » Sa réflexion resta en suspens néanmoins. 

Il se retourna, laissa passer une dizaine de chevaux d'une autre écurie qui effectuaient un canter, puis il dévala le talus et traversa la piste descendante. Ce matin il était venu en phaéton, mais il lui arrivait de faire le chemin à pied, Letchford Hall se trouvant tout près de l'enceinte d'entraînement. Avant de rentrer, il alla se poster le long d'une allée bordée d'arbres par où reviendraient ses cavaliers. Le retour au calme, après un tel effort, nécessitait un long temps de pas, rênes longues. Dès qu'il l'aperçut, Julien leva la main en signe de triomphe. Scarlett marchait devant les autres, tête basse, parfaitement détendue, déjà reposée. « C'était comment ? » s'enquit Dominic. « Facile, vous l'avez vu » rétorqua Julien, un brin surexcité. Le grand brun lui avait posé la question par acquit de conscience, certain d'en savoir davantage que ce cavalier, malgré toutes les sensations qu’il avait dû éprouver pendant ce galop. Il observa les flancs du cheval, ses naseaux, l'écume à la commissure des lèvres, puis il lui expédia une monotone claque sur l'encolure sans qu'il bronche. « Rentrez-les et allez déjeuner. » termina Dominic, de sa voix à la tonalité si claire et franche qu'elle donnait toujours l'impression d'assener des ordres, même quand ce n'était pas le cas. — Les usages de corsaire avaient décidément la peau dure. Un rapide coup d'œil sur le reste de sa petite troupe lui apprit que l'alezan soufflait beaucoup, toujours très énervé, et que le gris était en cause. Crabtree, égal à lui-même, profitait de l'arrêt pour arracher quelques brins d'herbe mouillée au bord de l'allée. Il fallait vraiment avoir l'œil à tout. Était-il vraiment le seul à craindre les coliques ? Incroyable ! Avec la rhinopharyngite, c'était pourtant le cauchemar de tous les entraîneurs. Dominic s'en tint toutefois à un simple regard désapprobateur, puis il grimpa prestement dans son Phaéton et gagna Letchford Hall en sept minutes. Jarvis Seaton fut ce qu'il vit en premier lorsqu'il pénétra dans l'enceinte du Ranch. « Si je m'étais attendu à te voir debout et déjà d'attaque de si grand matin ! » clama la voix rauque et pouffante du vieux Jarvis, pendant qu'il effectuait quelques pas rapides pour rejoindre son neveu, et que celui-ci confiait ses rênes à un palefrenier. « Dis-moi, à quelle heure es-tu rentré hier ? As-tu eu au moins le temps de fermer l'œil ? » Cette fois, le ton qu'employait l'oncle pêchait d'un peu d'inquiétude. Dominic soupira. Il savait que l'interrogatoire ne prendrait fin qu'avait une réponse mais il n'en avait fichtrement pas envie, préférant conserver ses forces pour les affaires urgentes qui l'attendaient comme chaque matin. Son regard tiré et le geste désinvolte qu'il mima suffirent à faire comprendre à son oncle qu'il avait à lui parler. Ensemble, les deux hommes prirent la direction du haras où sept juments pleines les attendaient. 

« J'ai encore reçu des lettres de réclamation, » annonça Dominic à Jarvis. Son timbre était sec, monocorde. L'aïeul ne répondit rien. « Ceci doit cesser mon oncle. Je n'ai pas l'intention d'éponger toutes les dettes de Dwight. S'il faille faire un communiqué pour faire stopper cela, eh bien soit, je le ferai. Peu m'importe désormais que tout Londres apprenne sa disgrâce. » Tout en parlant, le neveu de Jarvis continuait d'avancer en regardant droit devant, sans que jamais son ton ne trahisse une once d'émotion. C'était un art que Dominic maîtrisait bien, l'art de faire barrage pour empêcher qui que ce soit de percer à jour ses angoisses ou ses tracas. Cela lui avait énormément servi autrefois, quand il devait faire passer son pays avant la crainte d'échouer dans un cul de sac orchestré par les assaillants, ou même encore avant le chagrin de voir tomber un compagnon devenu un ami. « Un an, reprit-il encore, cela fait un an qu'aucun de nos chevaux n'a été sacré dans une quelconque compétition. Aucun propriétaire n'a encore passé le cap mais il se pourrait que ce ne soit qu'une question de mois, peut-être même de jours. Ça ne m'étonnerait pas que les Wellinger soient les premiers, je sais qu'ils ne me font toujours pas confiance. » Comme ils avaient gagné les étables, les deux gentlemen firent une pause pour laisser passer des hennissements impromptus. C'était de cette façon que les juments saluaient le vieux Jarvis qui les avaient toutes vu naître. Les Wellinger étaient des propriétaires méfiants et capricieux qui ne confiaient leurs chevaux qu'à la crème de la crème de ce que le monde équestre offrait de mieux. Les Seaton étaient de ce bord-là, enfin on parlait surtout du père, le célèbre Georges Seaton, jadis celui dont on disait qu'il " murmurait à l'oreil des équidés ". Cet homme fougueux et passionné avait quitté sa région natale un demi siècle auparavant pour son amour de toujours — Londres — où il entendait bien se faire un nom dans le milieu équestre. Aidé de son frère cadet qui l'y avait suivi, puis plus tard de celle qui deviendrait son épouse, Demelza Applewhite, une bourgeoise héritière, son rêve s'était réalisé… Voir ainsi son oncle balader ses mains dans les crinières des juments lui rappelait Georges. Cela lui rappelait sa jeunesse et le soin qu'avait pris son père de leur inculquer à Dwight, Émeric et lui, la fibre hippique. Les Seaton avaient cela dans le sang, ce n'était qu'évidence aux yeux du patriarche. D'aussi loin que remontait leur lignée, tous leurs ancêtres avaient versé dans le domaine, et lui-même avait toujours espéré qu'après lui la tradition se poursuivrait, bien qu'il ne l'avait jamais imposer explicitement à aucun de ses fils. — Aujourd'hui c'était son plus grand regret. Georges avait toujours soutenu que l'organisation des courses était meilleure du côté de la Manche, et que les gains valaient la peine de s'y aventurer. Installé d'abord en marge de Londres, sa première écurie ne comptait à l'époque qu'une vingtaine de boxes ou il avait logé ses cracks. En quelques années, la réussite fut au rendez-vous, car non seulement Georges savait entraîner ses pur-sang, mais surtout il possédait le don de les engager dans la bonne épreuve. Ses résultats, ajoutés à son flegme naturel et au réseau que su lui dégoter Demelza, attirèrent chez lui de nombreux propriétaires, le contraignant même à déménager. Il fit aussitôt l'acquisition d'une nouvelle écurie de cinquante-six boxes qui s'articulaient autour d'une jolie cour en U et qu'on appela Letchford hall. Au bout se trouvait une maison vaste et biscornue, que Georges transforma avec plus ou moins de goût en logis anglo-russe, pour rendre hommage aux origines de son épouse. Ce fut dans cette maison que leurs trois fils vinrent au monde. L'aîné, Dwight Seaton, aujourd'hui âgé de trente ans, n'avait pas su être à la hauteur des attentes de Georges, en dépit de toutes ses tentatives d'en faire un homme d'abord, avant même de songer à lui accorder le privilège de successeur qu'impliquait pourtant sa position de premier né. Dwight avait été un enfant gâté; le premier à déroger au principe qui liait les Seaton aux chevaux depuis des générations. Il avait manifesté très tôt une répugnance certaine pour la rude ambiance des écuries, et il ne s'intéressait aux pur- sang qu'à condition de les voir de loin, sur une piste de jeu par exemple. Dominic et Émeric étaient nés ensemble quant-à eux, trois ans après Dwight, la nuit du quinze novembre. Vingt-sept ans après, leur ressemblance physique continuait toujours d'en surprendre plus d'un, même leurs parents, or c'était là que s'achevait pourtant leur similitude. Émeric était né six minutes après Dominic mais rien ne l'avait jamais empêché de tirer son épingle du jeu. C'était le fils parfait, le favori de leurs deux parents, selon que comme Georges il adorait les chevaux, il apprit à les monter mieux que lui et, sans cesse, son enfance durant, il ne rata jamais une occasion de le suivre aux courses ou dans les étables. Demelza craignit d'abord qu'il ne devint un rustre mais là encore, avec une aisance prodigieuse, il se distingua merveilleusement grâce à ses bonnes manières, ses sourires courtois et son éloquence remarquable. Il avait beau être brun, quand il riait ses yeux gris s'emplissaient de reflets d'or, ce qu'on ne voyait jamais dans ceux de son jumeau, d'un noir de jais. Dominic n'était pas un rustre, du moins il ne l'avait pas été enfant, pas plus qu'il ne partageait l'antipathie de Dwight pour les chevaux. Ils le laissaient indifférent, voilà tout. Il avait bien-sûr reçu la même instructions qu'Émeric – leur père, malgré sa préférence manifeste, s'était toutefois fait un devoir de leur administrer le même traitement – mais il était toujours si silencieux ou concis quand il ouvrait enfin la bouche, qu'il devenait tout bonnement impossible de juger de son intellect. En tout cas, ce n'était pas la même chose avec la verve de son double. À lui on prédisait un brillant avenir, même que Georges se tenait prêt à l'investir du rôle d'entraîneur s'il n'y avait eu l'intervention de sa compagne pour qui c'était primordial que ses fils aillent à l'université. « Les Wellinger, je les connais bien, ils ne font confiance à personne. Ne le prends pas trop personnellement Dominic. » tenta de tempérer Jarvis qui revenait vers son neveu. Dominic le scruta et ne répondit pas. Son regard, remarqua son oncle qui connaissait bien son caractère, le suivait assidûment, de quoi en déduire qu’il l’entendait bel et bien , mais l'écoutait-il ? Jarvis possédait un tempérament très doux, rêveur, presque dolent, le genre qui plaisait aux chevaux mais qui n'avait aucun poids en société. C'était l'opposé de son frère également, son ombre, et malgré cela il lui avait été d'un soutien constant les années durant. L'idée du haras venait de lui. Même s'il témoignait une tendresse sans faille pour sa famille et ses neveux, Jarvis était le seul à avoir toujours eu une préférence pour Dominic, loin de voir en lui le brun incernable. Il était convaincu que, comme lui, il cherchait à faire de son mieux… « Tu fais de ton mieux et tu ne te débrouilles pas si mal, crois-moi. Pour quelqu'un dont le destin était tout autre, tu m'impressionnes. Allons mon garçon, nous allons remettre cette forteresse sur les rails, tu verras. » "Tout autre" c'était en effet peu de le dire. Même dans ses rêves les plus fous, Dom ne se serait jamais vu prendre la direction de Letchford Hall. Mais voilà, Dwight était incompétent, coureur de jupon et joueur invétéré. Quant à Émeric, son tendre frère qu'il avait toujours aimé en dépit de leur différence, il était parti, non plus pour devenir l'avocat qu'il espérait au sortir de ses brillantes études, mais pour toujours. Pour le dire autrement, Émeric était mort, victime d'un naufrage alors qu'il revenait enfin d'Amérique, après six années d'absence. Des mois étaient passés depuis mais ni Georges Seaton, ni sa femme Demelza, n'étaient parvenus à outrepasser la douleur. Sa mère avait sombré dans la mélancolie puis était tombée gravement malade. Son père, malgré tout, tâcha de se montrer inébranlable, pour ses chevaux et pour son honneur, mais c'était sans compter le poids de l'âge et de la culpabilité. Son dernier espoir c'était Dominic, et il le lui avait bien fait comprendre. « Il le faut mon oncle. Père compte sur moi et je n'ai pas le droit de le décevoir. Cela dit, je ne désespère pas. Je pense qu'on a peut-être en Scarlett une solution. La prochaine course à lieu dans une semaine, nous serons fixés d'ici là. » [...]




Dernière édition par Dominic Seaton le Dim 27 Aoû - 8:54, édité 24 fois
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Harmony Y. Wood
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12/07/2022
Rebienvenu à toi. Est ce que tu vas nous faire encore un vilain? lol
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Rebienvenue!!!! J'ai hâte de lire son histoire et de le retrouver en RP coeur
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Tamesine-Rose Howard
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54
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19/04/2023
Rebienvenue ! Hâte d'en apprendre plus ! happy1
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Dominic Seaton
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4
Date d'inscription :
19/08/2023
Harmony Y. Wood a écrit:
Rebienvenu à toi. Est ce que tu vas nous faire encore un vilain? lol


Il en manque cruellement par ici, tu ne trouves pas ?   pc
Et puis à t'entendre on dirait que t'en peux déjà plus de Max  zut1
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Dominic Seaton
Messages :
4
Date d'inscription :
19/08/2023
@Agatha Maskelyne Merci bien ! Malheureusement comme tu peux le voir, ça prend plus de temps que prévu x) mais je tâcherai d'accélérer  miam1
@Tamesine-Rose Howard Merci  bisou
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Dominic Seaton a écrit:
@Agatha Maskelyne Merci bien ! Malheureusement comme tu peux le voir, ça prend plus de temps que prévu x) mais je tâcherai d'accélérer  miam1


Oh mais y a aucun souci, prends le temps qu'il te faut coeur
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Karoline Wellington
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25
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20/04/2021
Hello bienvenue par ici  we can die twice || Dominic  1f600
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Lady Whistledown
Messages :
246
Date d'inscription :
20/04/2021

Félicitations !



Bravo à toi ! Tu es validé !  fete

On va voir si il est aussi robuste que ses chevaux!

Avant de jouer, n'oublies pas de vérifier que les bottins aient bien été renseignés des informations renseignées dans ta fiche. Si d'aventure parce que certains éléments n'y sont pas précisés, n'hésites pas à nous le signaler dans les sujets concernés.

N'oublies pas également d'ouvrir ton carnet d'aventures qui regroupe tes rps ainsi que les liens prévus ou qui se crée tout au long de ton jeu. N'hésites pas à dater tes rps pour t'y retrouver dans la chronologie de tes aventures  pervers

Il ne nous reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu parmi nous  pompom

Le staff
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