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Bienveillance ou manipulation ?
novembre saison 1 - Feat @Henry Phantomhive
Cela faisait plusieurs jours, peut être même une semaine que le bal avait eu lieu, le premier bal de la saison. Il n’y avait jamais eu autant d’homme dans la maison au cours des dernières saisons. Pour la plupart, c’était pour Pénélope et peut être un ou deux pour moi, mais plus pour faire bonne figure. Ma mère évoque le fait que j’ai quand même eu un compliment de la reine et qu’on m’a vu en compagnie d’un gentleman une partie de la soirée. Gentleman que même ma mère n’a pas remarqué quand Poppy est venue interrompre ma conversation avec lui. Gentleman qui étrangement, occupe une bonne partie de mes pensées.
Cela n’est pas passé inaperçu auprès de ma dame de compagnie qui glousse dés qu’on évoque le bal et que quelqu’un fait allusion à Henry Phantomhive. La première fois se fut le lendemain au petit déjeuner quand mon cousin de manière assez désinvolte a informé que le « cadet Phantomhive » était présent lors du bal.
Mais qui est ce Henry Phantomhive Robby ?
C’est le gentleman avec qui je discutais quand tu es venue pour tes crétins de prétendants.
Mon ton est mon langage était agressif, un peu trop sans doute. J’en voulais toujours à ma sœur, surtout qu’après qu’elle met appeler, j’ai été toute seuls vu que ni l’un ni l’autre ne m’a adressé la parole à part un « bonsoir » poli. Poppy sursaute face à mes propos et lâche un « Ho…pardon… ». Elle comprend qu’elle a gâché potentiellement une chance pour moi, dans son esprit et ma mère me réprimande pour mon langage, mais aussi Poppy en lui demandant pourquoi elle était venue me chercher.
J’ai fini par quitter la table, prétextant être fatiguée et évité la matinée des visites à ma sœur. Cela n’a pas pu durer malheureusement. Je n’ai pu éviter aucune matinée ou après-midi de visite, jusqu’à aujourd’hui.
Comment souvent, j’allais à la librairie sans vraiment dans l’optique d’acheter quoi que ce soit, mais pour prendre l’air. Ma dame de compagnie a pu évoquer un dernier recueil de poésie très prisé. Ma mère et ma tante comme beaucoup, voulant se montrer à la mode, ont demandé à une employée d’aller leur acheter. J’ai sauté sur l’occasion pour me porter volontaire et d’y aller en évoquant le fait que j’avais moi-même besoin de nouveau livre pour me divertir. Je n’ai pas remarqué le regard complice de ma dame de compagnie et de la gouvernante, quand l’une et l’autre on a tour de rôle proposer de m’accompagner et argumenté que cela serait plus facile, surtout que tous le monde était fort occupé dans la maisonnée pour accueillir les prétendant de Poppy.
C’est donc dans une balade libératrice à mes yeux et orchestrée par les employés de maison, que je me retrouve en ce jour, couvert chaudement, dans une cape bordeaux à déambuler dans les rues de Londres. Je ne mets pas longtemps à aller dans ma librairie préférée, poussant la porte et faisant sonner la petite clochette. Je suis accueillie par la libraire avec un sourire chaleureux et le lui rend bien.
Ma dame de compagnie reste non loin de moi et semble chercher quelqu’un du regard, alors que je me plonge dans la contemplation de couverture de littérature française.
Cela n’est pas passé inaperçu auprès de ma dame de compagnie qui glousse dés qu’on évoque le bal et que quelqu’un fait allusion à Henry Phantomhive. La première fois se fut le lendemain au petit déjeuner quand mon cousin de manière assez désinvolte a informé que le « cadet Phantomhive » était présent lors du bal.
Mais qui est ce Henry Phantomhive Robby ?
C’est le gentleman avec qui je discutais quand tu es venue pour tes crétins de prétendants.
Mon ton est mon langage était agressif, un peu trop sans doute. J’en voulais toujours à ma sœur, surtout qu’après qu’elle met appeler, j’ai été toute seuls vu que ni l’un ni l’autre ne m’a adressé la parole à part un « bonsoir » poli. Poppy sursaute face à mes propos et lâche un « Ho…pardon… ». Elle comprend qu’elle a gâché potentiellement une chance pour moi, dans son esprit et ma mère me réprimande pour mon langage, mais aussi Poppy en lui demandant pourquoi elle était venue me chercher.
J’ai fini par quitter la table, prétextant être fatiguée et évité la matinée des visites à ma sœur. Cela n’a pas pu durer malheureusement. Je n’ai pu éviter aucune matinée ou après-midi de visite, jusqu’à aujourd’hui.
Comment souvent, j’allais à la librairie sans vraiment dans l’optique d’acheter quoi que ce soit, mais pour prendre l’air. Ma dame de compagnie a pu évoquer un dernier recueil de poésie très prisé. Ma mère et ma tante comme beaucoup, voulant se montrer à la mode, ont demandé à une employée d’aller leur acheter. J’ai sauté sur l’occasion pour me porter volontaire et d’y aller en évoquant le fait que j’avais moi-même besoin de nouveau livre pour me divertir. Je n’ai pas remarqué le regard complice de ma dame de compagnie et de la gouvernante, quand l’une et l’autre on a tour de rôle proposer de m’accompagner et argumenté que cela serait plus facile, surtout que tous le monde était fort occupé dans la maisonnée pour accueillir les prétendant de Poppy.
C’est donc dans une balade libératrice à mes yeux et orchestrée par les employés de maison, que je me retrouve en ce jour, couvert chaudement, dans une cape bordeaux à déambuler dans les rues de Londres. Je ne mets pas longtemps à aller dans ma librairie préférée, poussant la porte et faisant sonner la petite clochette. Je suis accueillie par la libraire avec un sourire chaleureux et le lui rend bien.
Ma dame de compagnie reste non loin de moi et semble chercher quelqu’un du regard, alors que je me plonge dans la contemplation de couverture de littérature française.
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